On commence par démonter le plus facile, le bouton de rembobinnage. Ça donne accès à trois vis pour enlever la couronne des ISO, bien mémoriser sur quelle valeur vous êtes (même si on peut retrouver la valeur en positionnant la bague, les 3 vis sont excentrés, il n'y a qu'une position possible).
Ensuite, il faut décoller le disque d'indication des vitesses, pour accéder à deux vis. Attention de vous positionner sur une vitesse précise, pour le remontage, la pose B par exemple, facile à reconnaître. Pareil pour le disque décoratif sur le levier d'armement, il y a une vis en dessous. Une fois enlevé, le capot sort tout seul, rien ne vous saute à la figure, il faut juste faire attention de ne pas perdre le petit bouton de test batterie.
Et voila l'électronique purement fin 70's sous nos yeux :
C'est les positions "d'usine", en tout cas sur mon appareil. J'avais environ deux diaf de surexposition, après quelques essai il semble que ce soit la résistance variable du milieu, indiqué en rouge, qui étalonne le niveau de la cellule. J'ai du ajouter un quart de tour vers la gauche pour avoir une valeur fiable. Je me suis basé sur une cellule dont j'ai confiance, qui me donnait (avec la pluie de ce superbe week end) 1/500-5.6 pour le ciel, et 1/30-2.8 sur le mur du fond de mon salon pour 200 iso... J'ai retrouvé sensiblement ces valeurs sur mon Revueflex, même s'il ne faut pas trop en demander à la cellule de cet appareil.
Le remontage ne pose pas de difficulté si l'on a pas trop trifouillé les boutons
...
C'est, à la base, un Chinon CE Memotron, "rebadgé" pour Foto Quelle. Le démontage doit être identique entre les deux appareils, qui sont des frères jumeaux. 
Obturateur électro-mécanique offrant de 2 à 1/2000 de seconde, et surtout, un astucieux mode à priorité ouverture assez unique en monture M42 !