
Ainsi un N° du tout début des années 2000 montre, alors que pointe le numérique accessible à tous, du moins pour les compacts, l'offre des boitiers argentiques est toujours pléthorique et présente des nouveautés: la "belle époque"

Et pourtant ça s'emballe très vite au profit de la nouveauté.
Plus intéressant est la réflexion d'un rédacteur de la revue qui signale et déplore le comportement de certains (beaucoup ?) de marchands photos qui ne commandent plus du matériel argentique, misant ainsi à fond sur le numérique. Est-ce là l'explication de l'abandon rapide de l'argentique par les fabriquants ? Je lance la discussion...
