Nicolas BAL a écrit :En l'occurrence, c'est plutôt New York et la côte Est qui ont influencé les arts plastiques, la littérature et l'architecture français dans l'après-guerre.
L.A., à part Hollywood, n'a à mon avis jamais eu d'influence esthétique sur l'Europe ?
Ok, on va arrêter là, les vérités à l'emporte-pièce je trouve ça hallucinant, et tes multiples éditions et corrections n'aident pas à suivre... c'est marrant de voir comment tu tempères tes propos ou les segmente d'une édition à l'autre. Los Angeles n'a jamais eu d'influence sur l'Europe... Nan. Jamais. A part Chips, les flics à moto qui prennent les bretelles d'autoroute de Los Angeles... j'y vais pour ça, moi, beauf que je suis. C'est ma jeunesse.
Je tâcherai quand même quand même de ramener un tirage d'Ansel Adams à Papouleu
(enfin une carte postale
), si jamais je sors de Los Angeles pour visiter un peu les alentours
Nicolas BAL a écrit :Faudrait pas croire que les Européens ont découvert l'Amérique, qu'ils y ont tout fait et basta. Parce que dès le XVIIIè siècle, les Etats-Unis ont eu plus d'influence sur nous (politique, arts, littérature, architecture, droits civils), que l'inverse.
Ta vision réductrice d'une "influence" qui coule d'un continent à un autre comme on ouvre un robinet, c'est ridicule au plus au point. Un non-sens complet. Ce que j'aime dans les musiques populaires, c'est qu'elles interrogent en permanence l'histoire... à chaque fois que j'écoute Bessie Smith, c'est horrible, je trouve que l'esclavage a produit quelque chose de magnifique !! Qu'est-ce qu'aurait été la musique aujourd'hui sans l'esclavage ? Vertigineux comme question...
Bon, je te laisse disserter sur le sujet : j'aime bien poser des questions, tu aimes bien asséner la vérité... on est parfaitement complémentaire, c'est magnifique !!
Népo