Une vidéo de la séance avec ma femme

Je vous laisse juge, sur la photo de mon pote, la plaque a glissé sur mon gant d'où le merdier à gauche ...





Oui, c'est ça une simple plaque alu noir et un film transparent protecteurKawaZ a écrit : mercredi 22 janvier 2025 19:06 Intéressante la vidéo :
J'imagine qu'au début c'est une simple plaque d'aluminium, le film bleu juste une protection.
Le liquide orange est le Collodion Humide, que tu prépares avec, mon cas, une recette "POE BOY" ensuite la plaque une fois le liquide déposé va dans la cuve de sensibilisation de nitrate d'argent pendant 3 mm[/quote]KawaZ a écrit : mercredi 22 janvier 2025 19:06 Après le liquide orange, j'imagine ce qui va servir de support pour les "sels" qui eux sont sensibles à la lumière et se fixeront sur le liquide orange dans le second bain à l'abri de la lumière.
Oui, on essuie l'arrière de la plaque pour pas polluer la cassette qui va recevoir la plaque sensibilisée.KawaZ a écrit : mercredi 22 janvier 2025 19:06 Quand les sels se sont déposés sur la surface imbibée de liquide orange au bout de quelques minutes, c'est égoutté ( pas de séchage ?) et tout de suite positionner dans le fond à volet ( comme les vielle radio médicale) qui est mis ensuite à l'arrière de l'appareil photo grand format.
Oui, en gros, c'est ça, mais sur les toutes les photos, il y a les flashs qui sont déclenchésKawaZ a écrit : mercredi 22 janvier 2025 19:06 Pour la prise de vue, le volet est retiré, et ensuite ouverture de l'obturateur, 5 secondes ?
Pour le second test, il y a un flash et un temps de pose beaucoup plus rapide ( dur de faire poser le chien).
J'ai tout bon ?
la chimie est un peu stressante, mais rien de bien sorcier, il faut juste être méticuleux, pour pas en foutre partout et prévoir gants, lunette, masque, tablier pour une sécurité et d'être dans un endroit ventilé.KawaZ a écrit : mercredi 22 janvier 2025 19:06 Le côté cuisine et chimie, vraiment pas mon truc, j'en foutrais partout.
Mais c'est intéressant de voir comment on fait, pas toujours clair avec un simple mode d'emploi.
C'est dommage car c'est pas cher, facile et tellement satisfaisant de pouvoir dire "c'est moi qui l'ai fait" à la fin.j'ose déjà pas développer mes négatifs!
Je comprends ton appréhension - mais crois-moi le développement de films, surtout en N&B, est extrêmement permissif et souple. Bien sûr, les résultats les plus parfaits seront achevés en respectant scrupuleusement les instructions, mais le processus est très tolérant des variations modeste de températures et durées. Avec un peu de pratique, c'est tellement simple que le véritable danger commence quand on est tellement rôdé qu'on en fait plus du tout attention à ce qu'on fait. Et même quand on foire, il est souvent possible de rattraper au moins partiellement son erreur si on réagit vite et bien.KawaZ a écrit : vendredi 24 janvier 2025 18:22 Oui peut être, mais j'ai horreur d'être stressé dans des manipulations " chronométrées" avec température adéquat, et 3 heures de préparation pour être sûr de ne pas être pris au dépourvu.
Rien à voir avec le sujet ni la photo, mais j'ai plusieurs fois fais de la peinture au pistolet, le réglage de celui-ci, le branchement au compresseur ( penser à purger avant l'eau contenue dans la cuve), sortir la balance pour faire le mélange avec le durcisseur ( là le temps est compté ! La température aussi) ou faire une dilution, ensuite faire des essais, enfin peindre, sans que cela coule.... pour un résultat à chaque fois foireux.
J'ai horreur de cela!
Au moins en électronique, tu foires quelque chose, tu recommences et surtout tu peux prendre ton temps. En mécanique pareil, tu re-demonte et tu recommences en prenant ton temps.
Avec une pellicule photo, si tu foires c'est mort, et quand c'est tes photos de vacances, c'est doublement mort!
Je dois faire une pellicule de test pour le Nikon EM de mon fils, peut être l'occasion de faire un essai : quitte à prendre n'importe quoi et sans intérêt en photo, si c'est raté pas grave.