Georgesh a écrit :Il suffit de mettre en place les optiques à oreilles de lapin ou à oreilles pleines sur la baiönnette du boitier, en prenant la précaution de les monter diaphragme sur f/5,6, puis de faire un aller-retour gauche droite/ grande ouverture - petite ouverture. Le photomic comprend quelle est la plus grande ouverture de l' optique. C' est quand même utile, puisque la mesure de lumière se fait à pleine ouverture, et que le diaph se ferme pile poil avant le déclenchement.
Si j'ai bien compris cette manoeuvre n'est utile que pour la cellule!
J'imagine que les photographes de l'époque avaient ce geste automatique. Mais je pense que de nos jours, il est difficile de recommander ces anciens boitiers, surtout à un débutant???
Mais peut-on expliquer "historiquement" cette "complication" chez Nikon, alors que d'autres marques avaient adopté un système simple et automatique pour renseigner la cellule du boitier ?
j'aimerais savoir si les possesseurs d'un de ces anciens Nikon sont gênés ou pas par ce système (pour Georgesh, il semble que non) . En tout cas la plupart d'entre-vous recommandent , à choisir, le FM (NB: j'en ai un

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