Je remonte ce fil car il y a une question à laquelle je ne trouve pas de réponse. C'est le lien entre Dektol 1+7 et méthode Jules. Quelle est le lien fondamental entre les deux? C'est la même raison que pour le film: on épuise le révélateur? Kodak préconise le Dektol en 1+3. J'imagine donc qu'en 1+7, il faut développer plus longtemps. Quel temps alors? Avec agitation ou pas?
Merci d'avance
Etienne
Seulement voilà,
Georgesh a écrit :Je finis par penser que ce n' est pas utile de militer pour cete méthode de développement dite Jules Steinmetz en tentant de convaincre ceux qui ne la pratiquent pas. Ceux qui la pratiquent ont essayé, ont surmonté leurs hésitations face à un process inhabituel qui surprend en particulier par les temps longs proposés. Il y aura toujours des partisans d' autres pratiques, avec des solutions à usage unique ou à dilution différente.
Le process est expliqué en détail. Le mieux est d' en noter les particularités ( quels films utilisés, quel rendu souhaité, quelle stratégie développée à l' époque par Leitz , avec quels boitiers) et de l' essayer si on en a le souhait.
En particulier, la meilleure des chimies ne rattrape pas une exposition ratée. Cette méthode de travail se comprend si on a , par ailleurs, fait une mesure en connaissance de cause, en lumière réfléchie, en choisissant d' exposer pour les hautes lumières, ou les basses, ou les gris. Elle s' applique en priorité aux pellicules Tri-X , 400 ISO, gamma 0,7. C' était le rendu en usage chez Publimod quand Jules Steinmetz y a travaillé, à partir de 1980.
Elle s' adapte , pour ceux qui en ont, aux optiques apo et autres asphériques, plus contrastées, en diminuant le temps de développement d' une ou deux minutes.
C' est destiné à un travail de tirage sur papier, dans un révélateur papier Dektol dilué à 1 + 7.