La couche anti allo dont rêvent tous ceux qui ont une ado à la maison, ou celle qui fait qu'il faut toujours que le téléphone sonne lorsque l'on change le petit... Et bien non ce ne sont pas de ces couches dont je veux parler mais bien de celles qui agrémentent nos labos.
(Je fais la collection des jus de schtroumf dans des éprouvettes)

Jusqu'à présent ma façon de développer était simple.
Pré mouillage pour enlever la couche anti halo mais seulement en moyen format. Pour le 24/36 je ne m'en occupais pas.
Mais en développant certains films 24/36 au Rodinal et en voyant le révélateur sortir de la cuve chargé de film anti halo, je me demande si au final je ne devrais pas généraliser le pré mouillage.
Pour les révélateurs réutilisé je vais le faire, forcément, mais pour les autres à bain perdu est-ce vraiment nécessaire ?
En gros pensez vous que chimiquement les composants de la couche anti halo puissent interférer avec le développement ?
Désolé pour cette question un peu bête mais bon peut-être que je en suis pas le seul à me la poser...
Notez que la question n'est pas pour ou contre le pré mouillage mais bel et bien "est-ce que le produit de la couche anti halo a une incidence sur la chimie du développement"
Merci pour vos avis.
