N'y aurait-il pas une solution technique pour que cette règle puisse s'appliquer au film ?
Ma question est forcément nulle, sinon, ça se saurait

Rémy
Pas vraiment, mais quel intéret ???Rémy_91 a écrit : Ma question est forcément nulle, sinon, ça se saurait![]()
L'idée était juste ne pas trop se torturer l'esprit avec les temps à la demi minute et au demi degré près, et les films un peu surdév. ou un peu sousdév.c'est quoi l'interet de la chose ?
Je vais y regarder de plus prèsen quelque sorte c'est le Stand Dev'
Et c'est tout à fait juste. Ceci dit, honnêtement, même à des faibles dilution, faut pas trop non plus se mettre la rate au court bouillon : nos films négatifs N&B supportent très bien les écarts de dév, tant qu'ils ne sont pas excessifs.Rémy_91 a écrit :J'ai toujours développé en privilégiant les dilutions donnant un temps assez long pour éviter une trop grande précision
Exact, bien vu...Le scan est à l'envers...Tu m'envoies ton adresse en MP pour les malabars...!Habib a écrit :Telephone
mais je pense que tes images sont inversees car ni Aubert ni Bertignac ni Marienneau ne soient gauchers
Oui bien sûr, là c'était une expérience: avoir une image ou pas; je n'ai pas renouvelé l'expérience...benoit c a écrit :ça c'est téléphone.
à part ça, le négatif et le papier c'est quand même assez différent :
pour le premier, l'idée c'est de ne rien perdre de la richesse dans les ombres, dans les lumières, et dans tous les gris entre les deux. Le but est d'avoir de quoi tirer facilement et de pouvoir permettre des choix au tirage. Si on va dans des traitements extrêmes dès cette étape, on se ferme plein de possibilités pour la suite.
Pour le tirage, le but est différent : c'est l'étape finale...