Ce mois de juillet j'ai du utiliser une bonne vingtaine de pellicule pour un séjour qui a commencé à Paris et s'est achevé en Bretagne. Croyez moi ou non, je trouve toutes mes photos affreuses. c'est sur je n'ai pas le talent de quelques posteurs et je suis encore loin d'y parvenir. J'ai pu faire, à mon goût, quelques clichés sympa que je n'ai jamais travaillé sur toshop (manque de temps et de pratique de la bête). Mais cette fois ça dépasse l'entendement. Alors le doute s'est installé et instille légèrement mon appréhension de la photo. comment se fait-il que je trouve tous mes clichés absolument horribles. Tellement laids que je n'ose même pas en poster un (je posterai plus bas) celui que je trouve le plus "correct".
Les symptômes décelés sont :
- Beaucoup de photo avec flou de bougé (alors que j'avais pas mal travaillé pour éradiquer ce "mal".
- Cadrage qui sont parfois limites
- mauvaise gestion des situations de nuit
- MAP pas toujours parfaite (mais rare faut dire)
- Et le must of the top : incapacité totale de faire une photo avec une PdC correcte. Mais cette fois pas une seule n'est sortie correcte quand j'ai voulu créer des profondeurs de champs. toutes nulles.
Je me cherche des explications, et je rencontre celles-ci :
- Trop exigeant ;
- Mauvaise maitrîse de l'appareil (eos 1N RS et eos 50)
- je suis vraiment nul et je m'en aperçois que maintenant
- je dois revoir les fondamentaux
- me trouver des sujets et donner une cohérence à l'ensemble de mes photos
- Il me faut un grand travail d'instrospection dans le domaine de la photo pour savoir où je veux aller, cela m'indiquera certainement comment je dois construire mon projet photographique, sans quoi je me contenterais de faire quelques photos lambdas, et pour cela autant passer directement au numérique.
toutefois, ces quelques réflexions répondent à l'une de mes questions capitales : Dois-je continuer ? Je répond oui.
J'aime la photo, j'aime entendre le bruit du miroir, mais surtout j'aime ce sentiment que mon sens de l'observation s'aiguise de plus en plus chaque jour. J'aime cette idée que mon âme est une pellicule qui reflète ma sensibilité selon la lumière d'humanité et de beauté que le monde offre à mon oeil, objectif de ma vie.
Il en reste pas moins une chose, tout ce que j'ai pu faire est nul à c...., mais horriblement naze. Mais je persévère. Pour preuve, dans 15 jours je repars en vacances.
