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La photo du mois de mai 2025

Photo Faite par Skogkatt59
Découvrez le reste de la sélection du mois de mai ici
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Survie du N&B
- fabrice C
- Super Gourou
- Messages : 2823
- Enregistré le : mercredi 09 novembre 2005 19:31
- Localisation : poitiers
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Sans être por non plus mais ayant été artisan dans un autre métier, on peut effectivement souhaiter que quelques jeunes un peu plus malins et créatifs que la moyenne, s'aperçoivent qu'à force de leur demander de faire la photo ET la post-prod ... ils n'ont plus besoin d'agence, et pour le coup, en effet, grâce à la souplesse d'utilisation des outils numériques !
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- Super Gourou
- Messages : 1413
- Enregistré le : jeudi 13 octobre 2005 11:10
- Localisation : Troisième planète du système solaire, groupe local de galaxies, superamas de la Vierge
Bonjour,
Dans ce cas, il s'agit presque d'un retour aux sources, des débuts du reportage, où le photographe développait et tirait ses images dans la salle de bain de son hôtel, avant de les envoyer par avion, ou bien, plus tard, de les passer par bélinographe (une sorte d'ancêtre de la télécopie, au moyen d'un scanner analogique), à son journal.
Cordialement.
Dans ce cas, il s'agit presque d'un retour aux sources, des débuts du reportage, où le photographe développait et tirait ses images dans la salle de bain de son hôtel, avant de les envoyer par avion, ou bien, plus tard, de les passer par bélinographe (une sorte d'ancêtre de la télécopie, au moyen d'un scanner analogique), à son journal.
Cordialement.
- Georgesh
- Site Admin
- Messages : 15489
- Enregistré le : mardi 31 janvier 2006 22:34
- Localisation : 88

Je pense effectivement qu' il y a des différences entre le rendu des pellicules. Avec un scoponet, on voit très clairement les grains d' argent, plus ou moins gros suivant les marques, et suivant la sensibilité choisie.
Même avec les procédés de fabrication qui progressent, il est toujours conseillé d' utiliser des rouleaux en 50 ISO, pour avoir moins de grain qu' en 1600 ISO.
Comme c' est fort bien dit plus haut, les pelloches ont une personnalité, et les photographes pour qui le prix n' est pas l' enjeu prioritaire finissent par privilégier, pour leur style propre, une pellicule particulière. De plus ils l' associent souvent avec un révélateur particulier, pour former un couple qui leur convient.
Voir les papiers nombreux sortis sur le sujet dans Réponses-photo.
Forcément, pour apprécier des différences entre les pelloches, il vaut mieux faire les tirages soi-même, et dans un format 30 X40. tant qu' on se contente du tirage en petit, toutes les pellicules semblent identiques.
Pour donner une indication personnelle, je vois une différence de rendu entre une TRI X développée dans du D76 et une TMAX développée dans du TMAX.

Mais il y a un sujet dont on parle assez peu sur ce forum, c' est les différences de piqué, de moelleux, de contraste et de douceur entre les fabricants d' optique.
- fabrice C
- Super Gourou
- Messages : 2823
- Enregistré le : mercredi 09 novembre 2005 19:31
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- Super Gourou
- Messages : 1413
- Enregistré le : jeudi 13 octobre 2005 11:10
- Localisation : Troisième planète du système solaire, groupe local de galaxies, superamas de la Vierge
Bonjour,
Pour juger du rendu d'un négatif et donc d'une pellicule, il faut souligner que l'agrandissement ajoute son "coefficient personnel", entre la chimie du révéleur et le type de papier.
Pour notre part, nous ne travaillions qu'avec de l'Ilfobrom, dont nous avions apprécié la netteté et le rendu des détails, ainsi que la large gamme de gris, plus ses noirs légèrement bleutés (développement dans du révélateur papier Agfa).
Ce papier baryté traditionnel, sur support mince, était excellent pour la photographie technique (nature morte, publicité, etc.).
En fait, avec l'habitude, l'on en vient ainsi à articuler toute une chaîne donnée et à se tenir à ses divers maillons : pellicule, révélateur, type d'agrandisseur (éclairage direct, semi-direct, indirect), papier de tirage, révélateur de papier.
Cordialement.
Pour juger du rendu d'un négatif et donc d'une pellicule, il faut souligner que l'agrandissement ajoute son "coefficient personnel", entre la chimie du révéleur et le type de papier.
Pour notre part, nous ne travaillions qu'avec de l'Ilfobrom, dont nous avions apprécié la netteté et le rendu des détails, ainsi que la large gamme de gris, plus ses noirs légèrement bleutés (développement dans du révélateur papier Agfa).
Ce papier baryté traditionnel, sur support mince, était excellent pour la photographie technique (nature morte, publicité, etc.).
En fait, avec l'habitude, l'on en vient ainsi à articuler toute une chaîne donnée et à se tenir à ses divers maillons : pellicule, révélateur, type d'agrandisseur (éclairage direct, semi-direct, indirect), papier de tirage, révélateur de papier.
Cordialement.
Modifié en dernier par hyperfocale le jeudi 01 juin 2006 21:51, modifié 1 fois.
- Georgesh
- Site Admin
- Messages : 15489
- Enregistré le : mardi 31 janvier 2006 22:34
- Localisation : 88

C' est vrai que tout ça, c' est des choix assez irationnels.
Pour des choix uniquement fondés sur le prix, de toute façon, il y a les films chinois Lucky. Voir sur e-bay. Jusqu' à la fermeture d' AGFA, j' aimais bien les APX , pas trop chers.
Le TRI X garde le soutien d' un grand nombre de pros.Il a un beau contraste, un beau modelé. Peut-être que tout cela est très discutable...
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- Super Gourou
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- Enregistré le : jeudi 13 octobre 2005 11:10
- Localisation : Troisième planète du système solaire, groupe local de galaxies, superamas de la Vierge