Les "leçons" sont effectivement les bonnes



- l'agitation : continue, tout en douceur, dans une cuvette nettement plus grande que le papier, on n'a pas le droit de se gratter le nez

- l'épuisement du révélateur : tu as mis le doigt dessus, chez moi deux feuilles, après quoi je régénère (j'ai dû déjà expliquer cela plus haut) et c'est le diable si j'arrive à faire 4 feuilles sans problème, après quoi le révélateur va aller rejoindre le flacon de "vieux brun" très utile
Pour les papiers, je crains que tu sois en train de t'échiner avec des papiers qui sont cités comme "semi lith" dans la newsletter de 2013 de Tim Rudman : Ilford Art 300, papiers Bergger "post Forte". Pour ces papiers Rudman est explicite : ils ne conviennent qu'au procédé "lith en 2ème passe" ; en procédé "lith classique" ils ne produisent pas de développement infectieux, donc ne pas rêver à des noirs poivrés comme ceux dont rêve Réginald. C'est la pénalité imposée par les évolutions dans les émulsions il y a une dizaine d'années : fin du cadmium + apparition de la phénidone.
A mon humble avis (et j'ai bien enquêté avant de formuler ce jugement) il n'y a que deux papiers "neufs" qui conviennent à notre art : le Retrobrom tout récent et le Slavich Unibrom. Autrement, tu peux évidemment faire du beau travail avec des papiers que j'appellerais "collector" ; vois donc ce que lulu69 a obtenu avec du Brovira. Je rêve moi-même de trouver du Brovira en bon état de conservation !
