Un débutant parle à un débutant.
Le compte-pose se branche sur l'agrandisseur, il lance un compte-à-rebours dont on détermine soi-même la durée qui s'achève par l'extinction de la lampe de tête. Cet appareil permet d'exposer le papier pendant une durée bien précise, sans être obligé de compter par dessus un métronome ou de surveiller un chronomètre, ainsi on évite les erreurs et on reste bien concentré pour effectuer des opérations de maquillage par exemple. Certains compte-poses se commandent avec une pédale, c'est encore plus pratique. Si le compte-pose est relié au secteur, on peut tout-à-fait bricoler un commutateur au pied que l'on insère entre la prise et le compte-pose.
Un compte-pose, c'est franchement très confortable (ne pas s'assoir dessus pour autant !). Tellement que ça en devient indispensable !
Le posemètre est un système qui mesure la lumière incidente ou réfléchie et propose en fonction de cette mesure une indication des réglages à adopter pour avoir une exposition correcte (ouverture, vitesse). La plupart des boîtiers en sont munis, mais on en trouve aussi qui sont indépendants ("cellule à main" type Gossen Lunasix, présentée sur le site).
Ta confusion vient probablement du fait qu'il existe des posemètres dédiés au tirage, permettant de sonder l'image d'un négatif. D'ailleurs, certains compte-poses en sont équipés !
AMHA un posemètre de labo n'est pas indispensable, mais peut-être faudrait-il d'abord que j'en essaye un avant de me prononcer ! C'est juste qu'on peut faire sans !
Le margeur ne me paraît pas indispensable, non. Personnelement je pose ma feuille sur une petite plaque de carton gris foncé et je ne fais que des agrandissements ayant la taille du papier. sans doute que si je voulais des agrandissements d'une taille plsu réduite et bien précise j'utiliserais plus souvent mon margeur.
