Il y a tant de paliers que cela est parfois décourageant, il faut comprendre la technique puis après tout oublier pour relativiser et réfléchir par rapport aux conditions de prise de vue. Sensibilité pratique de la pellicule...
Et là j'ai encore beaucoup de mal et à présent, progrès gênant, je m'en rend compte dès la sortie du labo...
C'est rageant, mais je m'accroche, être passé au tirage me motive énormément.
J'ai fait toute une série avec cette main en plastique sur le thème de l'avalanche et du reste et j'ai trouvé que ça collait bien avec mon humeur de hier, voilà tout.
Je ne cherche pas à devenir un grand photographe ni à en faire mon métier mais je suis juste un peu frustré de me rendre compte qu'après près d'un an de pratique intensive de la photo argentique, je n'arrive toujours pas à trouver ma voie et à avancer dans la maitriser de ma technique.
Ce message n'est pas une introspection même si ça y ressemble, il porte juste sur l'interrogation que l'on peut avoir vis à vis de la pratique de la photo argentique et des progrès techniques et surtout artistiques qui tardent à se montrer.
Bon, ce soir encore deux développements à faire dont une HP5 poussée à 800, là encore j'expérimente mais je ne posterai que si vraiment je réussis à sortir quelque chose de parlant.

Fin de la parenthèse.
Pour en revenir à la photographie des paysages enneigés, j'ai fait ce matin plusieurs photos d'un arbre en bord de route que j'ai sans doute photographier plus de cent fois avec la moitié des apapreils de mon stock sans arriver à retranscrire son image, oserai-je dire son esprit.
mais avec la neige qui agit comme un déflecteur géant et multiangulaire, le détails de sa macabre ramure apparaissaient de façon très nette.
Alors peut être que cette fois... Merci la neige !