Mardi 19 mars 2024
Surtout avec la situation internationale actuelle, il nous semble évident de conclure momentanément sur ce sujet, en soulignant ce qui suit, et qui va sans dire (mais encore mieux en le disant): évitez à tout prix de photographier n'importe quoi, n'importe où, n'importe quand, et n'importe comment, sauf si vous aimez les longs interrogatoires, éventuellement "musclés".
Même au sein de l'Union Européenne, et plus encore en Europe prise au sens large, certains pays ne tolèrent pas que l'on photographie des sujets, encore anodins chez nous (mais jusqu'à quand ?), tels qu'un pont, un bâtiment (même non officiel), une gare, un aéroport, etc. etc. Et dans d'autres pays, hors de l'UE, la liste des interdictions de photographier est parfois aussi longue que le célèbre inventaire de Prévert (raton-laveur inclus !). Si ce n'est pas un problème de réglementation d'état, il peut aussi y avoir des contraintes et des interdits liés à la culture, aux usages, notamment pour la photographie des autochtones.
Sans aller jusque là, la simple photographie de personnes, sans leur autorisation écrite, n'est plus permise par la législation française, tout comme les prises de vues effectuées dans des zones privées. Et les sanctions sont lourdes, en cas de non respect de ces règles, et de plainte déposée.
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Article réalisé d'après une contribution d'hyperfocale.