Mardi 19 mars 2024
Sauf pour une utilisation calquée sur celle faisant appel à la lunette de calfat, cette fois, tout le monde franchi la limite qui sépare l'eau de l'air, l'appareil de prise de vue et son utilisateur. Ce qui impose deux situations possibles pour ce dernier : soit, il retient sa respiration le temps de la prise de vue et en fonction de ses capacités d'apnée ; soit, il recourt à l'emploi d'un moyen de respiration mécanique (le plus souvent, un scaphandre autonome). Ce qui implique de respecter un minimum de règles de sécurité, dont la première est de savoir nager. Et, à laquelle il convient d'ajouter une formation suffisante à l'apnée où à la plongée sous-marine, et aussi une pratique au moins en duo, le trio étant encore plus un élément de sécurité.
Suite de l'article : optique sous-marine.
Article réalisé d'après une contribution d'hyperfocale.